27 juin 2024
27 novembre 2018
Pour la Fédération des acteurs de la solidarité, la participation des personnes accompagnées aux décisions et aux politiques publiques qui les concernent est une condition sine qua non de la lutte contre la pauvreté.
Au sein des établissements, inscrire la participation des personnes accueillies dans le fonctionnement des structures participe à l’évolution les pratiques d’accompagnement d’une part, et restaure le pouvoir d’agir des personnes accueillies d’autre part.
Entrée en application depuis plus de 15 ans, la loi 2002-02 rénovant l’action sociale et médico-sociale a posé le principe de cette participation dans les établissements sociaux et médicaux sociaux. Ainsi, elle prévoit l’élaboration de Conseils de vie sociale (CVS) ayant vocation à donner leur avis et faire des propositions sur toutes les questions relatives au « fonctionnement de l’établissement ». Ses membres, élus pour une durée d’un an, doivent être en majorité des représentants des personnes accueillies. Sont également représentés, des salariés, des administrateurs et le directeur de l’établissement. L’instance doit se réunir au minimum trois fois par an. D’autres formes de participation sont prévues par la loi, notamment en cas d’hébergement non continu, de durées d’hébergement inférieures à une année, lorsqu’une traduction est nécessaire ou dans les accueils de jour. Il s’agit par exemple de groupes d’expression, de consultations sur le fonctionnement du service, ou d’enquêtes de satisfaction.
En décembre 2017, la Fédération a fait paraître les résultats d’une enquête sur la mise en place de la participation dans les structures adhérentes. En bref, il en est ressorti que si de nombreux établissements mettent en place des CVS, ceux-ci admettent toutefois que cette instance est parfois jugée trop rigide face au contexte dans lequel certains établissements évoluent.
Cette année, la Fédération des acteurs de la solidarité a souhaité aller plus loin dans l’enquête en interrogeant quelques répondants sur le contexte de mise en œuvre des CVS, leurs plus-value, les freins auxquels ils font face, ainsi que les besoins qu’ils soulèvent. Cela a permis de mettre en évidence des bonnes pratiques d’adhérents, des leviers pour faire vivre la participation dans les établissements, ainsi que des outils pour inspirer d’autres structures.
27 juin 2024
27 juin 2024
27 juin 2024
Décryptage FAS de la politique sociale du RN 👇
✊Pour la solidarité, contre l’extrême droite : le 30 juin et le 7 juillet, votons !
Retrouvez le décryptage sur notre site👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/notre-decryptage-de-la-politique-sociale-du-rn/
Mais aussi les ressources proposées par certains de nos adhérents ou alliés, utiles pour démonter les arguments et fausses promesses de l’extrême droite et leur faire barrage aux élections👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/la-fas-et-ses-allies/
[INSERTION] 🗳️ : En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la @FedeSolidarite entend mettre en place un dispositif pour protéger les personnes accompagnées, les professionnels et les bénévoles.
🔗 À lire ici 👇
Pour la solidarité, face à l'extrême droite, la FAS appelle au vote le 30 juin et le 7 juillet et se constitue en espace de protection des personnes et des associations.
Pascal Brice (FAS) : « Face au permis d’humilier, nous nous constituerons en espace de protection »
En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la Fédération des acteurs de la solidarité entend mettre e...
www.google.com
Pascal Brice : « La menace de l’extrême droite, ce n’est pas la menace d’un programme, mais celle d’une vision de l’organisation de la société reposant sur la catégorisation faite des individus dans des groupes et des hiérarchies. »
« L’extrême droite au pouvoir c’est la fragilisation déjà engagée, mais d’une tout autre nature du monde associatif et du travail social. C’est le permis d’humilier, d’insulter, d’agresser, de mépriser donné à quiconque, dans ce pays. »
« Notre Fédération a décidé non seulement d’appeler au vote, mais aussi de mettre en place un espace de protection parce que c’est cela, dont les associations, personnes accompagnées, travailleur.euse.s sociales vont avoir besoin. »
La FAS mobilisée ce soir auprès des associations de solidarité et agents du service public engagés contre l’extrême droite aux côté de @FondationFACE @MozaikFondation @LaCordeeAsso, Collectif @nosservicespub 👇
L'extrême-droite au pouvoir ce ne serait ni banal, ni normal @FrancoisMolins
La suppression du droit du sol est la priorité n1 de M. Bardella. C’est le cœur du programme de l’extrême droite depuis Charles Maurras. Avec des conséquences les plus néfastes pour tous les enfants nés en France de parents étrangers, mais aussi de Français. Voici pourquoi.
La FAS mobilisée pour les #droits des #femmes avec #alertefeministes @AssoAurore @fguyot
L'extrême-droite exerçant le pouvoir d'Etat ce ne serait ni banal, ni normal.
« Nous, diplomates, ne pouvons nous résoudre à ce qu’une victoire de l’extrême droite vienne...
TRIBUNE. Cent soixante-dix diplomates expriment, dans une tribune au « Monde », leurs inquiétudes en cas de victoir...
www.lemonde.fr