15 novembre 2024
6 octobre 2021
La France compte dorénavant 48 764 postes vacants dans les métiers du soin et du prendre soin sur l’ensemble du territoire national.
En région Auvergne-Rhône-Alpes, nous parlons de 759 infirmiers, 394 aides-soignants, aides médico-psychologique, accompagnants éducatif et social, 226 éducateurs spécialisés, 140 médecins coordonnateurs, 86 directeurs de structures…
Ces difficultés, bien qu’accrues sur certains départements, touchent l’ensemble du territoire (zone urbaine comme rurale, frontalière ou non) tous secteurs confondus : santé, social, médico-social et de quel que soit le mode de prise en charge en établissements ou à domicile.
Ce constat de manque d’attractivité, mis en exergue par la crise sanitaire, n’est pas nouveau. Les organismes gestionnaires et les fédérations qui les représentent ont maintes fois alerté les pouvoirs publics à ce sujet.
Les effets des difficultés de recrutement rencontrées par les structures emportent des conséquences directes sur la qualité et la continuité des soins et accompagnements.
Cette situation est inacceptable !
Au travers la question de l’attractivité des métiers, c’est bien notre modèle sociétal d’accompagnement des personnes vulnérables dans son ensemble qui est en péril.
Pour que soit garantie la continuité et la qualité de nos missions d’utilité publique, il est urgent d’agir en faveur de l’attractivité des métiers de la solidarité et de la santé.
Fédérations, groupements, institutions, sommes attachés à l’exercice de nos missions d’intérêt public et resterons attentifs et parties prenantes aux suites réservées à cette interpellation et actions qui en découleront.
Communiqué de presse interfédéral du 6 octobre 2021
15 novembre 2024
04 novembre 2024
04 novembre 2024