27 juin 2024
25 juin 2020
Analyse et recommandations de la Fédération des acteurs de la solidarité et de la Fondation des Femmes.
Améliorer la réponse aux violences conjugales et lutter contre les violences faites aux femmes est un objectif gouvernemental affiché : il s’agit d’une grande cause nationale et le Grenelle des violences conjugales, qui a eu lieu fin 2019, avait cette ambition. La Fédération des acteurs de la solidarité a participé aux travaux du Grenelle et a notamment contribué à élaborer une charte de coopération entre les SIAO et le 3919. Nous avions alors regretté le caractère insuffisant des résultats du Grenelle sur les questions d’hébergement et d’accès au logement des femmes victimes de violences, estimant que les 250 places d’hébergement d’urgence et 750 mesures d’ALT prévues ne répondaient ni quantitativement ni qualitativement aux besoins.
La question de l’hébergement des femmes victimes de violences a été une problématique majeure pendant le confinement. Pour de nombreuses femmes, cette période a été synonyme de violences plus fréquentes, plus intenses et d’une mise en danger accrue de leur vie ainsi que de celle des enfants éventuels du foyer. Pour d’autres, et c’est notamment un phénomène qui émerge depuis le début du déconfinement, la période de confinement a été l’occasion de prendre conscience qu’elles étaient victimes de violences dans le cadre de leur couple et le déclic pour partir. Selon les remontées de terrain en notre possession, ce sont probablement plusieurs centaines de femmes qui furent concernées, et beaucoup plus d’enfants.
Pendant la période du confinement, le gouvernement a affiché la volonté d’héberger toutes les femmes victimes de violences conjugales qui en exprimaient le besoin, de manière inconditionnelle. Marlène Schiappa annonçait ainsi le financement de 20.000 nuitées et un engagement de 500 000 euros pour héberger en urgence des femmes victimes et des auteurs de violences.
27 juin 2024
27 juin 2024
27 juin 2024
Décryptage FAS de la politique sociale du RN 👇
✊Pour la solidarité, contre l’extrême droite : le 30 juin et le 7 juillet, votons !
Retrouvez le décryptage sur notre site👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/notre-decryptage-de-la-politique-sociale-du-rn/
Mais aussi les ressources proposées par certains de nos adhérents ou alliés, utiles pour démonter les arguments et fausses promesses de l’extrême droite et leur faire barrage aux élections👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/la-fas-et-ses-allies/
[INSERTION] 🗳️ : En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la @FedeSolidarite entend mettre en place un dispositif pour protéger les personnes accompagnées, les professionnels et les bénévoles.
🔗 À lire ici 👇
Pour la solidarité, face à l'extrême droite, la FAS appelle au vote le 30 juin et le 7 juillet et se constitue en espace de protection des personnes et des associations.
Pascal Brice (FAS) : « Face au permis d’humilier, nous nous constituerons en espace de protection »
En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la Fédération des acteurs de la solidarité entend mettre e...
www.google.com
Pascal Brice : « La menace de l’extrême droite, ce n’est pas la menace d’un programme, mais celle d’une vision de l’organisation de la société reposant sur la catégorisation faite des individus dans des groupes et des hiérarchies. »
« L’extrême droite au pouvoir c’est la fragilisation déjà engagée, mais d’une tout autre nature du monde associatif et du travail social. C’est le permis d’humilier, d’insulter, d’agresser, de mépriser donné à quiconque, dans ce pays. »
« Notre Fédération a décidé non seulement d’appeler au vote, mais aussi de mettre en place un espace de protection parce que c’est cela, dont les associations, personnes accompagnées, travailleur.euse.s sociales vont avoir besoin. »
La FAS mobilisée ce soir auprès des associations de solidarité et agents du service public engagés contre l’extrême droite aux côté de @FondationFACE @MozaikFondation @LaCordeeAsso, Collectif @nosservicespub 👇
L'extrême-droite au pouvoir ce ne serait ni banal, ni normal @FrancoisMolins
La suppression du droit du sol est la priorité n1 de M. Bardella. C’est le cœur du programme de l’extrême droite depuis Charles Maurras. Avec des conséquences les plus néfastes pour tous les enfants nés en France de parents étrangers, mais aussi de Français. Voici pourquoi.
La FAS mobilisée pour les #droits des #femmes avec #alertefeministes @AssoAurore @fguyot
L'extrême-droite exerçant le pouvoir d'Etat ce ne serait ni banal, ni normal.
« Nous, diplomates, ne pouvons nous résoudre à ce qu’une victoire de l’extrême droite vienne...
TRIBUNE. Cent soixante-dix diplomates expriment, dans une tribune au « Monde », leurs inquiétudes en cas de victoir...
www.lemonde.fr