27 juin 2024
11 janvier 2016
Initiée par un décret du 1er octobre 2013, l’expérimentation de la garantie jeunes a été prolongée jusqu’au 31 décembre 2017 par un décret du 30 décembre 2015. Ce décret précise également les modalités d’articulation de la garantie jeunes, tant du point de vue de l’allocation que de l’accompagnement, avec le service civique (si le jeune effectue une mission de service civique pendant la durée de son contrat garantie jeunes, celui est renouvelé automatiquement) et la nouvelle prime d’activité.
L’expérimentation de la garantie jeunes a commencé en 2013 suite au plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté, sur quelques territoires pilotes. Il était prévu une généralisation progressive à l’ensemble du territoire d’ici 2017 pour atteindre 100 000 jeunes (cumulé depuis 2013). Fin 2015, 72 départements et 273 missions locales étaient engagés dans la garantie jeunes pour toucher en principe 50 000 jeunes.
Afin d’accélérer la montée en charge du dispositif, la feuille de route de la conférence sociale pour l’emploi du 19 octobre 2015 a fixé une mise en place de la garantie jeunes sur tous les territoires volontaires par un appel à candidature lancé auprès des conseils départementaux. L’objectif fixé étant d’atteindre 100 000 jeunes en garantie jeunes dès fin 2016. Cet appel mentionne l’importance de la mobilisation de tous les acteurs locaux y compris des associations de solidarité.
Par ailleurs, des évaluations sont en cours. Elles sont menées par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) sous le pilotage d’un conseil scientifique. Ces évaluations doivent permettre d’évaluer l’impact de la garantie jeunes sur les trajectoires de jeunes qui en bénéficient et les partenariats mis en place sur les territoires.
Lors du lancement de l’expérimentions en 2013, la FNARS a souhaité que ses adhérents soient associés aux différentes instances de pilotage et commissions territoriales de sélection. Les objectifs sont multiples :
– pouvoir influer sur le choix des jeunes qui entreront en garantie jeunes et s’assurer que ce sont bien les jeunes les plus en difficulté qui en bénéficient ;
– pouvoir influer sur les partenariats à mettre en place au niveau local avec les associations de solidarité notamment dans le cadre d’une articulation de l’accompagnement proposé ;
– pouvoir capitaliser de l’information et la faire remonter aux délégations régionales FNARS et au siège national afin de renforcer notre expertise et notre force de lobbying au sein de la Délégation générale à l’emploi et à la formation professionnelle et du comité de pilotage de la garantie jeunes.
27 juin 2024
27 juin 2024
27 juin 2024
Décryptage FAS de la politique sociale du RN 👇
✊Pour la solidarité, contre l’extrême droite : le 30 juin et le 7 juillet, votons !
Retrouvez le décryptage sur notre site👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/notre-decryptage-de-la-politique-sociale-du-rn/
Mais aussi les ressources proposées par certains de nos adhérents ou alliés, utiles pour démonter les arguments et fausses promesses de l’extrême droite et leur faire barrage aux élections👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/la-fas-et-ses-allies/
[INSERTION] 🗳️ : En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la @FedeSolidarite entend mettre en place un dispositif pour protéger les personnes accompagnées, les professionnels et les bénévoles.
🔗 À lire ici 👇
Pour la solidarité, face à l'extrême droite, la FAS appelle au vote le 30 juin et le 7 juillet et se constitue en espace de protection des personnes et des associations.
Pascal Brice (FAS) : « Face au permis d’humilier, nous nous constituerons en espace de protection »
En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la Fédération des acteurs de la solidarité entend mettre e...
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Pascal Brice : « La menace de l’extrême droite, ce n’est pas la menace d’un programme, mais celle d’une vision de l’organisation de la société reposant sur la catégorisation faite des individus dans des groupes et des hiérarchies. »
« L’extrême droite au pouvoir c’est la fragilisation déjà engagée, mais d’une tout autre nature du monde associatif et du travail social. C’est le permis d’humilier, d’insulter, d’agresser, de mépriser donné à quiconque, dans ce pays. »
« Notre Fédération a décidé non seulement d’appeler au vote, mais aussi de mettre en place un espace de protection parce que c’est cela, dont les associations, personnes accompagnées, travailleur.euse.s sociales vont avoir besoin. »
La FAS mobilisée ce soir auprès des associations de solidarité et agents du service public engagés contre l’extrême droite aux côté de @FondationFACE @MozaikFondation @LaCordeeAsso, Collectif @nosservicespub 👇
L'extrême-droite au pouvoir ce ne serait ni banal, ni normal @FrancoisMolins
La suppression du droit du sol est la priorité n1 de M. Bardella. C’est le cœur du programme de l’extrême droite depuis Charles Maurras. Avec des conséquences les plus néfastes pour tous les enfants nés en France de parents étrangers, mais aussi de Français. Voici pourquoi.
La FAS mobilisée pour les #droits des #femmes avec #alertefeministes @AssoAurore @fguyot
L'extrême-droite exerçant le pouvoir d'Etat ce ne serait ni banal, ni normal.
« Nous, diplomates, ne pouvons nous résoudre à ce qu’une victoire de l’extrême droite vienne...
TRIBUNE. Cent soixante-dix diplomates expriment, dans une tribune au « Monde », leurs inquiétudes en cas de victoir...
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