26 septembre 2024
27 novembre 2014
La compagnie franco-mexicaine Le Miroir qui fume, qui produit et diffuse en France et à l’étranger des spectacles de théâtre contemporain, propose un partenariat aux associations soutenant les droits des femmes, afin de mener des actions de sensibilisation aux violences au sein du couple.
La pièce Bêtes, chiennes et autres créatures de l’auteur mexicain Luis E. Gutiérrez Ortíz Monasterio, dit LEGOM, créée par la compagnie le Miroir qui fume en 2012, est un spectacle qui traite de ce sujet avec pertinence et profondeur. Publiée en 2005, elle est construite sur trois moments qui précèdent l’émancipation d’une femme de l’emprise de son compagnon. Comme toute œuvre d’art, le spectacle est polémique.
La compagnie souhaite aujourd’hui placer cette création au cœur d’une action plus large qui favorise la mobilisation autour de ce sujet. Elle pourrait passer par :
La compagnie souhaite avec cette action :
1/ Donner à voir l’histoire d’un couple
Le théâtre produit sur les spectateurs des effets d’une force considérable. En montrant des figures et des fragments du réel, les spectateurs sont naturellement amenés à tirer les leçons de la représentation.
2/ Libérer la parole
En donnant aux femmes l’occasion de s’exprimer avant et après la représentation, avec l’avantage de pouvoir prendre de la distance par rapport à leurs expériences personnelles, les effets subjectifs du théâtre commence à apparaître : il s’opère un transfert théâtral.
3/ Identifier les violences
En décryptant les différents types de violence, les signes annonciateurs du passage à l’acte, les contextes qui favorisent les agressions physiques sont identifiés lors d’un débat après la représentation, la discussion entre pairs contribue à mettre des concepts à côté des impressions encore sensibles chez les spectateurs.
4/ Susciter (par le théâtre) un changement d’attitude
Le théâtre ne donne pas des explications, il montre. Les identifications et les réticences qui s’opèrent chez le spectateur vont faire que celui-ci sortira méditatif sur la pièce. Une modification subjective, parfois imperceptible, inconsciente, se produit. Un changement d’attitude par rapport au sujet traité est d’autant plus possible qu’il se produit depuis l’intimité du spectateur.
Évidemment, l’implication des acteurs locaux et des institutions compétentes est décisive pour la mise en place de l’action.
Voir un un extrait vidéo
26 septembre 2024
13 septembre 2024
10 septembre 2024
Deux "journées du travail social" pour "montrer la force" de la profession
@FedeSolidarite
Les perspectives de Pascal Brice clôturent les Journées du Travail Social
« Nous allons continuer le combat pour que les politique publiques dans ce pays soit à la hauteur de ce qui ce vit. »
« Votre fédération continuera à mettre le travail social en pleine lumière avec un objectif : c’est que ce combat là ne soit plus le combat de quelques uns mais de toute la société. »
Plénière 3 - le travail social, une solution contre le chaos avec @fa_brugere, philosophe, Jean-Jacques Brot, ancien préfet, @NDuvoux, président du @ConseilPauvrete , @finchelstein, secrétaire général @j_jaures, Véronique Lambert, directrice de l’Etape, administratrice de la FAS
Jean-Jacques Brot : « il faut que collectivement nous retrouvions les fonctions et les valeurs qui vont nous permettre de survivre dans une société de plus en plus vulnérable. »
Véronique Lambert : « les travailleurs sociaux sont les garants du lien social, ils sont les professionnels qui évitent le chaos, qui mettent en place la solidarité. On doit réussir à montrer ce que serait une société sans nous. »
Plénière 2 : Pouvoir d’agir : comment réinventer la solidarité avec Cyprien Avenel, sociologue, Christine Bailly, membre du CLTSDS, Denis Bourque, professeur à l’Université du Québec en Outaouais, Samir Elhamdi et Florence Moritz représentantsdes personnes accompagnées
Christine Bailly « il faut aussi prendre en compte la capacité des personnes à participer afin de les accompagner au plus près des besoins pour redonner ce pouvoir d’agir. »
Cyprien Avenel : « le travailleur social n’est pas là uniquement pour réparer mais pour accompagner la personne telle qu’elle est. Il-elle n’est plus seulement porte parole de l’usager mais un accompagnateur vers la prise de parole des personnes »
Nancy capitale du travail social pour 2 jours, à l’occasion du congrès de la @FedeSolidarite présidée par Pascal Brice.
Avec Chaynesse Khirouni, nous avons dit toute l’importance du travail quotidien des 1,3 million de travailleuses, pour l’essentiel, sociales.
Plénière 1 – Travail social : explorer pour écrire l’avenir animée par Nathalie Latour, directrice générale de la FAS avec Nicolas Antenat, philosophe, @BrodiezA, historienne et membre du conseil d’administration de la FAS.
Axelle Brodiez-Dolino aux travailleurs et travailleuses sociales : « sans vous, c’est tout qui s’écroule ».
Nicolas Antenat, philosophe reviens sur les problématiques de sens dans le travail social : « la question du sens a beaucoup été posée aujourd’hui : on a beaucoup parlé de burn-out et de bore-out. Il faut trouver du sens dans des espaces de plus en plus compressés. »
Pascal Brice dans @SudRadio sur les enjeux de solidarité suite à la formation du gouvernement
📺À revoir ici : https://www.sudradio.fr/politique/gouvernement-barnier-linquietude-des-acteurs-de-la-solidarite 👇
"2,5 millions de personnes sont en attente d’un logement social partout dans le pays : je dis au premier ministre et à Madame Létard : il faut conserver la loi SRU et la mettre en œuvre."⬇️
"Il faut réduire le déficit budgétaire, mais est-ce que c’est aux pauvres et à celles et ceux qui n'arrivent pas à ce loger d’y remédier ? Non. C’est à celles et ceux qui ont le moyen de contribuer à la solidarité."
Parmi les priorités du nouveau gouvernement @MichelBarnier @valerieletard : mettre fin à la tragédie des 2000 enfants à la rue ! @emmaus_france @FedeSolidarite @CollAssoUnies
Dans le cadre de la mission sur les femmes en situation de rue, la Délégation aux Droits des Femmes du @Senat a auditionné @FedeSolidarite @Utopia_56 sur le bilan des #JOP. Dans un contexte de précarisation accrue, l'Etat doit s'engager au maintien des solutions de mises à l'abri