02 juillet 2024
10 novembre 2022
Après la forte mobilisation de la FAS, de ses adhérents et partenaires associatifs mais aussi de député.es et de maires de grandes métropoles, le gouvernement a décidé d’ajouter par voie d’amendement 40 millions d’euros au projet de loi de finances 2023 dans le programme budgétaire 177. Ce faisant, le gouvernement affiche sa volonté de stabiliser le parc d’hébergement à hauteur de 197 000 places alors que 14 000 places devaient être supprimées d’ici la fin de l’année prochaine.
La Fédération salue cette décision gouvernementale, au regard de la situation plus que tendue d’accès à l’hebergement et au logement. Ainsi, ce sont plus de 6 000 personnes dont près de 2 000 enfants, qui appellent chaque jour le numéro 115 sans qu’il ne leur soit fait de proposition d’hébergement. Par ailleurs, un grand nombre de personnes à la rue ne sollicitent pas ou plus le 115, souvent par découragement, ce qui signifie que les besoins en hébergement sont bien plus élevés que ceux recensés actuellement. S’agissant du logement, le nombre de demandeurs de logement augmentent tandis que la rotation dans le parc social ne cesse de diminuer et que la production neuve n’est pas suffisante et avec des niveaux de loyer bien souvent trop élevés pour les ménages les plus précaires. Enfin, l’inflation fait craindre une hausse des impayés locatifs, dans le parc social comme dans le parc privé, et ainsi une possible augmentation des expulsions locatives à moyen terme.
Si le signal envoyé par l’exécutif est positif, nous devons collectivement et dès à présent maintenir l’ambition de l’accès au logement le plus direct possible pour les personnes en situation de précarité et faire en sorte que les conditions soient réunies afin qu’elles s’y maintiennent. A ce titre, la Fédération rappelle plus que jamais la nécessité d’avoir une programmation pluriannuelle « de la rue au logement » pouvant répondre à ces deux objectifs et visant la fin du sans-abrisme.
Décryptage FAS de la politique sociale du RN 👇
✊Pour la solidarité, contre l’extrême droite : le 30 juin et le 7 juillet, votons !
Retrouvez le décryptage sur notre site👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/notre-decryptage-de-la-politique-sociale-du-rn/
Mais aussi les ressources proposées par certains de nos adhérents ou alliés, utiles pour démonter les arguments et fausses promesses de l’extrême droite et leur faire barrage aux élections👇https://www.federationsolidarite.org/plan-de-vigilance-et-mobilisation/la-fas-et-ses-allies/
[INSERTION] 🗳️ : En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la @FedeSolidarite entend mettre en place un dispositif pour protéger les personnes accompagnées, les professionnels et les bénévoles.
🔗 À lire ici 👇
Pour la solidarité, face à l'extrême droite, la FAS appelle au vote le 30 juin et le 7 juillet et se constitue en espace de protection des personnes et des associations.
Pascal Brice (FAS) : « Face au permis d’humilier, nous nous constituerons en espace de protection »
En cas d’arrivée de l’extrême droite au pouvoir, la Fédération des acteurs de la solidarité entend mettre e...
www.google.com
Pascal Brice : « La menace de l’extrême droite, ce n’est pas la menace d’un programme, mais celle d’une vision de l’organisation de la société reposant sur la catégorisation faite des individus dans des groupes et des hiérarchies. »
« L’extrême droite au pouvoir c’est la fragilisation déjà engagée, mais d’une tout autre nature du monde associatif et du travail social. C’est le permis d’humilier, d’insulter, d’agresser, de mépriser donné à quiconque, dans ce pays. »
« Notre Fédération a décidé non seulement d’appeler au vote, mais aussi de mettre en place un espace de protection parce que c’est cela, dont les associations, personnes accompagnées, travailleur.euse.s sociales vont avoir besoin. »
La FAS mobilisée ce soir auprès des associations de solidarité et agents du service public engagés contre l’extrême droite aux côté de @FondationFACE @MozaikFondation @LaCordeeAsso, Collectif @nosservicespub 👇
L'extrême-droite au pouvoir ce ne serait ni banal, ni normal @FrancoisMolins
La suppression du droit du sol est la priorité n1 de M. Bardella. C’est le cœur du programme de l’extrême droite depuis Charles Maurras. Avec des conséquences les plus néfastes pour tous les enfants nés en France de parents étrangers, mais aussi de Français. Voici pourquoi.
La FAS mobilisée pour les #droits des #femmes avec #alertefeministes @AssoAurore @fguyot
L'extrême-droite exerçant le pouvoir d'Etat ce ne serait ni banal, ni normal.
« Nous, diplomates, ne pouvons nous résoudre à ce qu’une victoire de l’extrême droite vienne...
TRIBUNE. Cent soixante-dix diplomates expriment, dans une tribune au « Monde », leurs inquiétudes en cas de victoir...
www.lemonde.fr