12 novembre 2024
4 février 2020
Accompagnement des personnes, suivi RH, etc. associations et organismes vous collectez des données à caractère personnel que vous conservez dans des fichiers papiers et/ou des fichiers informatisés. En collectant ces données, vous mettez en place un “traitement de données à caractère personnel”.
Le Règlement général sur la protection des données (RGPD) impose de nouvelles obligations à tous les responsables de traitement.
Parmi ces obligations, figure celle de pouvoir justifier sur quelle « base légale » le traitement est réalisé. QUESACO ??
A l’ère du numérique, il est de plus en plus tentant de vouloir collecter un maximum de données à caractère personnel pour gagner en efficacité dans les structures. Face à ces volontés de performance, le RGPD impose toutefois des règles protectrices pour les personnes destinées à garantir le respect de leur vie privée et des libertés publiques.
Le responsable d’un traitement de données personnelles doit donc, dans tous les cas, pouvoir justifier d’une « base légale », qui l’autorise à collecter des données personnelles. Il ne peut pas mettre en place un traitement de données comme il l’entend.
La CNIL est venue clarifier dans une page dédiée (https://www.cnil.fr/fr/les-bases-legales) chacune des bases légales possibles, à savoir :
Elle rappelle également des principes essentiels :
Avant tout traitement, la CNIL propose 3 questions à se poser pour déterminer la base légale de son traitement :
1. Les textes imposent-ils ou excluent-ils une base légale spécifique ?
Par exemple, si le traitement est imposé à l’organisme par la loi, la base juridique « obligation légale » doit être privilégiée.
2. Quel est le contexte général de mise en œuvre du traitement ? Par exemple, le type d’organisme, le secteur d’activité, l’existence d’une base contractuelle.
3. Les conditions propres à la base légales sont-elles remplies ?
Par exemple, le consentement des personnes doit être « libre, spécifique, éclairé et univoque » pour être valablement recueilli et constituer dès lors la base légale du traitement. Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, le consentement ne peut pas constituer la base légale du traitement.
Afin de comprendre concrètement de quoi il s’agit nous publierons prochainement une note qui décrypte l’article de la CNIL.
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🔴 Personnes à la rue : mission de plus en plus impossible pour les associations qui portent le 115 : le courrier de la FAS et de la Croix-Rouge à la ministre du logement.
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CP | Personnes à la rue : Mission de plus en plus impossible pour les associations qui portent le...
Communiqué de presse 23 octobre 2024 Personnes à la rue : Mission de plus en plus impossible pour les associati...
www.federationsolidarite.org
Logements d'urgence : la Fédération des acteurs de la solidarité dénonce "des critères de tri illégaux" imposés par des préfets au 115
🔴 Alerte sur le 115 ➡️ "On nous demande de hiérarchiser la misère", dit Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité.
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"Aujourd'hui ce n'est pas possible de se dire qu'un ressortissant étranger peut circuler librement dans l'espace Schengen", assume @Al_Nikolic.
"Vous nous dites qu'un étranger est un problème, vous croyez que ça trompe qui ?" lui répond Pascal Brice.
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Ce matin, au ministère, à la veille de la période hivernale, j’ai réuni les représentants des associations de l’hébergement et du logement d’abord.
La solidarité fait la force de notre Nation.
Accueil des migrants dans un pays tiers : "Ce type de dispositif est contraire à la Constitution française", rappelle Pascal Brice, président @FedeSolidarite, en s'appuyant sur le Conseil d'État. Il réclame "plus de sang froid" des politiques.
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La Fédération des acteurs de la solidarité pointe les dysfonctionnements de la plateforme Anef, qui freinent notamment l'accès au travail des étrangers
@FedeSolidarite