Confiance Ile-de-France Jeune

Deux appels à projets pour lutter contre la Prostitution des mineurs viennent de paraître

Afin de lutter contre le nombre en constante augmentation de mineurs en situation de prostitution en France, le Secrétaire d’Etat chargé de l’enfance et des familles, a lancé en novembre 2021 un premier plan national de lutte contre la prostitution des mineurs. Donnant suite aux nombreuses alertes portées en autre par de nombreux.ses adhérent.e.s de la Fédération des acteurs de la solidarité, ce plan se donne pour objectif d’agir en faveur de la prévention de l’exploitation sexuelle des mineurs, d’améliorer l’identification et le repérage des enfants victimes de situations de prostitution, de proposer un accompagnement spécialisé et adapté pour une reconstruction de leur parcours de vie et d’améliorer les politiques publiques de répression des clients et des proxénètes.

 

Ces deux appels à projets entendent répondre aux priorités exposées pour lutter contre la prostitution des mineurs :

 

Vous retrouverez via les liens ci-dessous la présentation des deux appels à projets et leurs cahiers des charges 

AAP Déploiement de maraudes numériques, pour garantir sur tout le territoire national un “aller vers” pour les mineurs en situation prostitutionnelle

Ce présent appel à projet s’inscrit dans une logique de déploiement ou de renforcement de projets de maraudes numériques, pour garantir sur tout le territoire un “aller-vers” les mineurs en situation de prostitution, les repérer et les orienter vers les services partenaires compétents.

 

AAP: Déploiement de structures spécialisées dans la prévention, le repérage et l’accompagnement des situations de prostitution des mineur.e.s

Le présent appel à projet s’inscrit dans une logique de déploiement ou de renforcement de structures spécialisées dans la prévention, le repérage et l’accompagnement autour des situations de prostitution de mineurs.

 

Conditions de financement:

L’appel à projets, d’un montant total de 1,2 M€, vise à apporter un soutien financier à des projets, sous la forme d’une subvention annuelle non reconductible. La mise en œuvre de ces projets devra débuter en 2022

Les projets ne pourront pas être exclusivement financés par le ministère en charge de l’enfance. Le budget soumis dans le dossier de candidature devra faire apparaître des co-financements (collectivités, autofinancements, autres financements de l’État) à hauteur d’au moins 10% du projet et le montant sollicité ne pourra dépasser 100 000€.

Date limite du dépôt de dossier de candidature : 15 septembre 2022.

Le dossier de candidature doit être exclusivement transmis sur la plateforme “démarches-simplifiées”

https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/appel-a-projets-2022-pour-le-deploiement-de-structures-specialisees-dans-la-prevention-le-reperage-et-l-accompagnement-des-situations-de-prostitution-de-mineurs

Le comité de sélection se réunira en octobre 2022

Pour toutes questions, vous pouvez les adresser à l’adresse au :

Le secrétariat d’État à l’Enfance

Par délégation à la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS)

Sous-direction de l’enfance et de la famille Bureau de la protection de l’enfance et de l’adolescence

DGCS-PROTECTION-ENFANCE@social.gouv.fr

 

AMI 2022 – Fonds de lutte contre les addictions aux substances psychoactives

Le fonds de lutte contre les addictions liées aux substances psychoactives 2022 va continuer à financer des actions de prévention portant sur l’ensemble des produits psychoactifs ; le tabac, l’alcool et les autres substances psychoactives, avec une priorité accordée au cannabis et à la cocaïne, en touchant les publics les plus vulnérables.

Ce fonds s’adresse à des structures œuvrant dans le champ de l’addictologie, mais également à d’autres acteurs (associations, établissements de santé ou médico sociaux, collectivités, maisons de santé pluriprofessionnelles, communautés professionnelles territoriales de santé, acteurs du champ social …) qui accompagnent des personnes pouvant avoir des comorbidités liées à des consommations de produits psychoactifs.

Les projets qui seront retenus devront obligatoirement répondre à au moins l’un des 3 axes ci-dessous :

  • Axe 1 : Protéger les jeunes et éviter l’entrée dans le tabagisme ainsi qu’éviter ou retarder l’entrée dans la consommation d’autres substances psychoactives ;
  • Axe 2 : Aider les fumeurs à s’arrêter de fumer / réduire les risques et dommages liés aux consommations de substances psychoactives ;
  • Axe 3 : Amplifier certaines actions auprès de publics prioritaires dans une volonté de réduire les inégalités sociales de santé.

Plusieurs modalités de réponses sont possibles :

  • Une lettre d’intention (projet en cours de réflexion)
  • Un dossier de candidature complet (projet finalisé)
  • Un dossier de candidature Lieu de Santé Sans Tabac (LSST)

Date limite de dépôt : 7 septembre 2022 à l’adresse suivante : ARS-PDL-DSPE-PADS-SUBV@ars.sante.fr 

Retrouvez l’appel à projet intégral et le cahier des charges ici

 

ETAIE : La promo Bourgogne-Franche-Comté 2023-2024 arrive à grand pas !

La session ETAIE 2021-2022 n’est pas terminée mais on prévoit d’ores et déjà la session prochaine ! 

Vous êtes encadrant.e technique ou en voie de le devenir ?

Vous avez besoin d’une formation permettant de vous professionnaliser, de mieux cerner la fonction d’encadrant technique, de mieux vous repérer dans le secteur de l’emploi et de l’insertion ?

Vous êtes directeur.trice de SIAE et avez le volonté de maintenir votre/vos encadrant.e.s dans l’emploi et de pérenniser votre équipe ?

N’hésitez plus, cette formation est faite pour vous ! 

Plan de formation de la structure, contrat pro, pro-A, CPF, plusieurs financements de formation sont possibles, rapprochez-vous de votre OPCO directement pour les envisager.

Contactez dès maintenant Jeanne DELALLEE, Coordinatrice régionale Bourgogne-Franche-Comté du titre professionnel ETAIE pour avoir plus d’informations sur les modalités d’inscription et de candidature.

Adresse mail : formation@federationsolidarite-bfc.org

Téléphone : 06.46.85.58.38

D’autres informations sur la prochaine session à venir ! 

Réunion d’information collective – “Favoriser l’accès à l’emploi et à la formation des bénéficiaires d’une protection internationale (BPI)”

Appel à Manifestation d’Intérêt “Inégalités sociales et territoriales en santé”

Le plan d’action lancé suite au Ségur de la Santé visant à réduire les inégalités de santé amène l’ARS des Pays de la Loire a amplifier son action en la matière. L’objectif global étant de favoriser une réponse globale par territoire en liant plusieurs aspects :

  • la réduction des inégalités d’accès à la santé (difficultés liées vieillissement, augmentation des maladies chroniques mais aussi démographie médicale)
  • la réduction des inégalités en santé (différences systématiques observées dans l’état de santé des différents groupes de population)
  • la réduction des inégalités sociales en santé (facteurs sociaux et environnementaux).

L’ARS Pays de la Loire lance un appel à manifestation d’intérêt vise à faire émerger des programmes territoriaux :

  • porté par un territoire expérimentateur : les projets proposés pouvant  se décliner à différentes échelles (Quartier, EPCI ou groupement d’EPCI ou à l’échelle d’une commune),
  • Ou porté à l’échelle départementale avec approche thématique ou populationnelle et des actions qui seront déclinées localement.

L’appel à manifestation d’intérêt se déroule en deux phases :

  1. le recueil des lettres d’intention qui devront être déposées au plus tard le 15 janvier 2022 à 18h dernier délai
  2. une phase de dialogue avec l’ARS pour un dépôt de dossier définitif au plus tard le 2 mai 2022

Retrouvez l’AMI et son cahier des charges sur le site de l’ARS des Pays de la Loire. 

 

Justice pénale : répondez à l’appel à candidatures du programme d’accompagnement Act’ice 2022 !

Les associations Ronalpia et Possible lancent la 3e édition d’Act’ice, programme d’accompagnement à destination des structures qui se lancent ou se développent dans le champ de la justice pénale (favorisant la réinsertion et la prévention de la récidive des personnes condamnées).

Ce programme a pour objectif d’accompagner sur 3 volets principaux :

1/ Se professionnaliser et s’outiller : 

> Un accompagnement spécifique pour mieux comprendre le fonctionnement du secteur justice et ses enjeux, renforcer l’accompagnement de ses publics et consolider son projet

2/ Coopérer :

>  Des échanges pour développer entre pairs des réponses complémentaires aux besoins des publics accompagnés, des rencontres avec des acteurs publics et privés pour sortir de l’isolement et nouer des collaborations pertinentes et innovantes

3/ Développer sa visibilité et son réseau :

>  Des rencontres dédiées avec des mécènes, des parrainages locaux et nationaux par des acteurs de la justice, l’accès aux réseaux de Possible et Ronalpia

En bref, ce programme national, gratuit et de 9 mois (janvier – septembre 2022) s’articule autour :

  • d’un suivi individuel (conseils mensuels personnalisés) à distance
  • de séminaires collectifs (formations, témoignages de spécialistes et apprentissages entre pairs) en présentiel à Lyon
  • de mises en réseau (acteurs de la justice, tissu associatif de l’insertion et financeurs potentiels).
Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 2 novembre
Cliquez ici pour en savoir plus
Cliquez ici pour déposer votre candidature

 

Pour toute question vous pouvez contacter Alice Tallon, chargée de mission Justice à la FAS : alice.tallon@federationsolidarite.org

Journée Régionale “Accompagner le parcours professionnel des primo-arrivant.e.s et bénéficiaires d’une protection internationale”

Public cible : acteur.trice.s de l’intégration des bénéficiaires d’une protection internationale (permanent.e.s des SIAE, professionnel.le.s des structures d’hébergement ou d’accueil de jour, porteurs de projet dans le domaine de l’intégration des personnes BPI, professionnel.le.s du service public de l’emploi, etc.)

Présentation et enjeux de cette journée régionale :

Centres d’hébergement, Accueils de Jour, SIAE, Entreprises, service public de l’emploi, acteur.trice.s de la formation linguistique et professionnelle, porteurs de projets dédiés, … les acteurs et actrices mobilisées pour l’intégration des personnes primo-arrivantes et bénéficiaires d’une protection internationale (BPI) sont nombreux et nombreuses en Ile-de-France.

Depuis plusieurs années, la Fédération des acteurs de la solidarité Ile-de-France œuvre à favoriser la mise en lien et l’interconnaissance entre ces différent.e.s acteur.trice. Pour aller plus loin dans ces actions, la Fédération, avec le soutien de la DIAIR, de la DIAN et de la DRIEETS, déploie en 2021 un nouveau projet : PROFAIR « Professionnalisation, Réseau, Outillage et Formation des Acteurs de l’Intégration des Réfugiés ».

Dans ce cadre, la Fédération vous invite à participer le 21 octobre prochain à une journée régionale d’échange autour de l’accompagnement du parcours professionnel des personnes primo-arrivantes et BPI. Cette journée, structurée autour de tables rondes, d’ateliers et de temps d’échanges, vous permettra de rencontrer d’autres acteur.trice.s de l’intégration, de découvrir des projets et d’échanger autour des leviers de l’insertion professionnelle des personnes BPI.

Pré-programme :

Matinée – Tables Rondes :

  • Les enjeux de l’accompagnement des personnes BPI dans la construction de leur projet professionnel : permettre aux personnes de se projeter dans une vie professionnelle en France à court, moyen et long terme
  • L’Engagement des entreprises pour favoriser l’intégration des personnes BPI.

Après-midi :

  • Espace d’échanges avec des porteurs de projet lauréats du Plan Investissement dans les Compétences pour l’Intégration Professionnelle des Réfugiés ;
  • Ateliers :
    • Accompagner le parcours professionnel des jeunes primo-arrivant.e.s et BPI ;
    • Orienter les personnes BPI vers l’IAE ;
    • [Parcours SIAE] : Accompagner l’apprentissage du français en parcours d’Insertion.

Le CNC lance un appel à projets pour soutenir des actions de diffusion culturelle à destination des 15-25 ans

Dans le cadre du plan de relance, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) lance un appel à projets doté de 2 M€ pour renforcer ou faire émerger de nouvelles pratiques et actions de diffusion culturelle à destination du public jeune, avec comme cible prioritaire les 15-25 ans. L’objectif est de se saisir de l’enjeu primordial de redynamisation de la fréquentation des lieux de diffusion (notamment des salles de cinéma) par cette génération.

Le CNC est convaincu que l’inventivité et les solutions pour attirer et fidéliser le jeune public viendront du terrain, et souhaite s’engager auprès de ces acteurs pour les faire exister. Ainsi, l’appel à projets cible le financement d’actions destinées à réinventer l’expérience dans un lieu physique qui intègre notamment le numérique pour inventer de nouvelles modalités de transmission et d’interaction permettant de conquérir un nouveau public.

« A l’heure de la réouverture des lieux culturels, le moment est venu de mettre la jeunesse au cœur de notre réponse à la crise. Cette génération partage des pratiques qui sont de plus en plus éloignées de celles de leurs aînés. Nous avons le devoir d’aller à leur rencontre et de rebâtir notre industrie de l’image en affinité avec cette génération Z. Elle représente le public, les créateurs et les citoyens de demain » déclare Dominique Boutonnat, président du CNC.

Cette aide est ouverte à toutes les structures, privées ou publiques, établies en France, qui portent un projet concret de diffusion en association avec un lieu physique (salle de cinéma, festival, cinémathèque, musée…). Le montant attribué pourra être compris entre 20 000 € et 200 000 €, dans la limite de 75% du budget. Une commission se prononcera sur la base des 4 critères suivants : l’ambition culturelle, la stratégie marketing pour attirer les 15-25 ans, la couverture territoriale (implication des collectivités, capacité à travailler en réseau) et la viabilité économique du projet. Les collaborations entre acteurs provenant de différents univers et présentant des compétences complémentaires sont vivement encouragées

Une première date limite de dépôt des dossiers est fixée au 30 juin. Une seconde session de sélection aura lieu avant la fin de l’année 2021 avec un dépôt prévu entre le 1er septembre et le 30 septembre.

Retrouvez ici l’appel à projets

Pour toutes questions : diffusion1525@cnc.fr

[Appel à candidature] La FAS recherche des Formateur·rice·s pour le projet MARAUD’IN, les maraudes numériques

Présentation

La FAS regroupe 870 associations de solidarité et organismes qui vont vers et accueillent les plus démunis, notamment les acteurs de l’accueil, hébergement et insertion (AHI), du dispositif national d’asile (DNA) et de l’insertion par l’activité économique (IAE).

Parmi ses adhérents, la Fédération compte de nombreux Services Intégrés d’Accueil et d’Orientation (SIAO) et des Centres d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS). Les SIAO en charge des plateformes, qui assurent la gestion du numéro d’urgence « 115 », ont été créées dans chaque département sous l’autorité du préfet afin d’améliorer l’accueil, l’évaluation, l’orientation et la prise en charge des personnes sans abri ou risquant de l’être. Quant aux CHRS, pouvant être gérés par des associations, ont pour missions d’assurer l’accueil, le logement, l’accompagnement et l’insertion sociale des personnes ou familles connaissant de graves difficultés en vue de les aider à accéder ou à recouvrer leur autonomie personnelle et sociale. Certaines de ces structures développent une activité de maraudes, permettant d’aller au-devant des personnes qui vivent à la rue, en squats ou en bidonvilles, dans une logique d’aller vers, pour leur faire connaître les possibilités d’accompagnement et d’hébergement que ces personnes ne mobilisent pas.

La Fédération propose un projet à destination de ces acteurs, présents en Métropole et dans les territoires ultra-marins, pour soutenir et renforcer cette activité de maraude. Ce projet a été construit avec plusieurs de ces adhérents et il est envisagé une expérimentation sur plusieurs territoires.

Contexte et constats

A l’horizon du tout numérique d’ici 2022, un grand nombre de personnes se trouvent éloignées du numérique (13 millions). La dématérialisation des démarches administratives et la place croissante du numérique dans la société viennent notamment transformer les pratiques et missions des maraudes qui font face à l’évolution des besoins des personnes à la rue. Bien que se trouvant dans une situation d’extrême précarité, les personnes sans-abri ne sont pas pour autant déconnectées du numérique.

L’étude de Solinum constate que 91[1] % des personnes interrogées possèdent un téléphone mobile et 71 % un smartphone. Mais si les taux d’équipement sont élevés, des disparités d’accès et d’usages du numérique s’observent. L’étude montre notamment que plus de la moitié des personnes sans abri ne font jamais leurs démarches administratives en ligne (62%) et que des problématiques inhérentes à leurs conditions de vie viennent compliquer leur accès au numérique. Ces problématiques ont été observées par l’étude nationale Maraudes FAS/FNSS[2], avec 48% des ménages rencontrés ayant un téléphone portable qui expriment des difficultés d’usage dont la recharge du téléphone (pour 32%) et l’obtention d’une connexion ou d’un crédit téléphonique (pour 21%).

Objectifs du projet

Afin de répondre globalement aux besoins des personnes à la rue le projet est pensé pour s’intégrer aux maraudes existantes qui disposent de moyens matériels pour aller vers les personnes sans-abri et de la connaissance du terrain. En appui à cet existant, le projet permettra :

  • D’équiper les maraudes en matériel numérique :

– Les équipes de maraudeurs seront dotés de tablettes avec forfaits 4G.

– Des bornes et des casiers de recharges pour téléphone portable seront mis à la disposition des personnes sans-abri.

  • De mener un travail de médiation numérique dans le secteur de la veille sociale par la formation des maraudeurs (professionnels comme bénévoles) à la médiation numérique.
  • De participer au dispositif d’évaluation du projet sur les aspects relatifs à la formation des maraudes (identification des besoins supplémentaires des maraudes, participation aux réunions d’évaluation du projet).

Ce projet a vocation à se déployer sur deux ans. L’année en cours constitue la période d’expérimentation du projet auprès de 6 maraudes. La seconde, se tenant en 2022, a pour objet d’essaimer le projet en déployant, à ce titre, 10 maraudes.

A cet effet, la FAS mobilise des acteurs spécialisés du secteur de la médiation numérique, afin de former les maraudes :

  • à l’utilisation des tablettes ;
  • à l’appropriation d’une « boîte à outil » pédagogique MARAUD’IN ;
  • à accompagner l’évolution des postures : passer de maraudes à maraudes numériques (maraudeurs aidants numériques).

Mission et attentes

Il sera attendu des formateurs, dans un premier temps, de :

  • pouvoir être en capacité de former des maraudes sur au moins un des territoires suivants : Moulins (Auvergne-Rhône Alpes), Kourou (Guyane), Berck-sur-Mer et Lille (Hauts-de-France), Strasbourg (Grand-Est) ;
  • suivre une formation de formateurs de deux journées
  • s’approprier les contenus : « boite à outil » pédagogique MARAUD’IN, déroulé de formation, supports d’animation de la formation et documents associés ;
  • animer deux journées de formation en présentiel auprès des maraudes des territoires concernés à fixer entre les semaines du 28 juin 2021 et du 5 juillet 2021 ;
  • participer à l’évaluation du dispositif de formation dès septembre 2021.

Dans un second temps, le formateur aura vocation à accompagner la FAS et son réseau dans l’essaimage du projet en 2022 en reconduisant le cycle de formation des maraudeurs.

Compétences

Il est attendu des formateurs :

  • Sens de la communication (écoute, communication orale)
  • Connaissance des techniques pédagogiques
  • Bonnes connaissances du domaine d’intervention (inclusion et médiation numérique)
  • Connaissances dans les domaines de l’action sociale et de l’accès aux droits (serait un plus)
  • Savoir réguler les dynamiques de groupe
  • Autonomie
  • Les formateurs familiers des territoires concernés par le programme MARAUD’IN seront privilégiés ainsi que les formateurs disposant d’un agrément.

Rétribution

La rétribution proposée pour assurer les missions précitées s’élève à 3.000 euros par session de formation de maraude pour chaque formateur (incluant les frais pédagogiques ainsi que ceux de déplacements).

Pour candidater

Envoyer un CV, une lettre de motivation et des références à nathalie.crouzet@federationsolidarite.org et sarra.cheklab@federationsolidarite.org.

[1] Précarité Connectée – Les sans-abri et le numérique : équipements, usages et compétences numériques des personnes sans-abri en France en 2018

[2] Étude nationale maraudes et Samu sociaux sur le sans-abrisme du 14 et 15 janvier 2020